Depuis les années 1990, les FNB ont prouvé leur robustesse, surtout lors des périodes les plus troubles, tel que la faillite du fonds de couverture Long-Term Capital Management, l’éclatement de la bulle des technos et par-dessus tout, la crise financière de 2008. Cependant, certains observateurs suggèrent que les FNB souffrent de graves lacunes; toutefois ils en apportent rarement la moindre preuve.
Quelles sont les ressemblances et les différences entre les actions individuelles et les FNB? Ces derniers sont-ils plus risqués ou moins risqués que les fonds communs de placement? Est-il vrai que les FNB peuvent déclencher des krachs boursiers? Les FNB font-ils l’objet de fausses nouvelles? Et qui aurait intérêt à répandre de telles fausses nouvelles?
Raymond Kerzérho rencontre Alain Desbiens, directeur pour le Québec des BMO fonds négociables en bourse. Alain nous éclaire en nuançant certains raccourcis et en contredisant certaines fausseté qu’on entend parfois à propos des FNB.