Oct 04, 2018

Balado : Avez-vous vraiment besoin des obligations

James Parkyn - Raymond Kerzhéro - François Doyon La Rochelle

James Parkyn – Raymond Kerzérho – François Doyon La Rochelle

 

Les taux d’intérêt plancher ne sont pas un phénomène nouveau. Le plan de sauvetage de l’économie mondiale suite la crise financière de 2008 s’appuyait sur une politique de taux à près de zéro pourcent qui a entraîné les taux de certaines obligations vers des creux de moins de 1% en 2016. Les taux ont amorcé une lente remontée depuis. Néanmoins, certains investisseurs se montrent impatients face au rendement anémique de leurs obligations.

Toutefois ces dernières, malgré leur faible rendement, remplissent toujours leur mission avec diligence dans le portefeuille des investisseurs. Pour les jeunes clients accumulateurs, la présence des obligations temporiseront les pertes lors des périodes baissières en Bourse qui surviendront inévitablement, et à garder le cap sur la stratégie à long terme. Pour les retraités, une juste proportion en obligations aide à réduire le risque d’épuiser le capital. En plus, la présence des obligations sert de réserve d’actif stable pour rééquilibrer le portefeuille et racheter des actions lorsqu’elles sont au rabais.

La discussion avec mes collègues et gestionnaires de portefeuille François Doyon La Rochelle et James Parkyn nous aide à mieux comprendre que le rôle des obligations demeure aussi viable, que les taux d’intérêt soient élevés ou faibles.

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